Lundi soir, lors de la séance budgétaire, Roger Martin, ancien adjoint au maire en charge des finances entre 2001 et 2008, s'est abstenu lors du vote final, et son collègue, Yves Schnell s'est
exprimé contre.
Auparavant, il avait regretté la faiblesse de l'autofinancement communal (notre édition de mercredi).
L'ancien adjoint a indiqué qu'en 2007 il se montait à 260.000 €.
Jean-Noël Le Gall, maire, réfute cette affirmation et lui répond dans un communiqué. «En 2007, la capacité d'autofinancement nette de la commune, c'est-à-dire après déduction des emprunts, était
négative (-59.044 €) alors qu'en 2011, elle est positive et s'élève à 104.445 €.
M.Martin confond avec l'excédent de fonctionnement qui était effectivement de 265.232€ en 2007, mais il convenait de déduire le remboursement des dettes qui s'élevaient à 324.276 €», explique
Jean-Noël Le Gall.
Le premier magistrat tient également à souligner, «que le budget prévisionnel doit être voté en équilibre. Les recettes et les dépenses prévisionnelles doivent s'équilibrer mais les
résultats du compte administratif, voté en fin d'exercice, ont toujours dégagé un excédent de fonctionnement.
Pour l'année 2011, l'excédent de fonctionnement est de 206.216 €. Depuis le début de la mandature, il n'a pas beaucoup varié et a toujours été proche de 200.000 €».
EXTRAIT DU TELEGRAMME