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KELEIER IRVILHAG

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Informations municipales de la commune d'Irvillac 29460


Agriculture. Une formation sur l'entretien des haies..

Publié par IRVILLAC sur 22 Février 2013, 09:32am

Catégories : #INFOS DIVERSES

entretien-des-haies.jpg

Mardi après-midi, à l'initiative du Syndicat de bassin de l'Élorn, une formation sur l'entretien des haies bocagères s'est tenue dans la commune d'Irvillac.

Claire Amil, animatrice agricole et bocage, a sollicité Emmanuel Clavaud, de la société coopérative d'intérêt collectif Coat Bro Montroulez, pour présenter les techniques de taille, de formation, d'élagage de jeunes haies et d'entretien de vieilles haies.

Les échanges se sont poursuivis sur les possibilités de valorisation du bois.

Le petit groupe s'est, ensuite, déplacé pour voir différentes haies dont celles plantées dans le cadre du programme Breizh Bocage (programme de reconstruction du maillage bocager en Bretagne). 

« Le bocage est encore perçu, pour certains, comme une contrainte, a expliqué Claire Amil.

Nous cherchons à donner aux exploitants des techniques d'entretien simples pour leur linéaire de haies et, pourquoi pas, pouvoir par la suite valoriser le bois, tout en contribuant à limiter l'érosion du sol et le transfert de polluant ».

Le Syndicat du bassin de l'Élorn va d'ailleurs accueillir un stagiaire pour travailler sur cette thématique, début mars.


Info: Le Telegramme

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<br /> Dans une micro-région aux terres peu profondes de qualité  moyenne et avec une érosion forte due à la pluviosité océanique, sans parler de l'érosion éolienne, sur des terres de plus en plus<br /> affinées, épierrées et cultivées bien souvent dans le sens de la pente alors qu'on pourrait faire autrement (tous les ans nous voyons les mêmes coulées de bonne terre perdue), le bocage en<br /> travers des pentes fait partie des bonnes pratiques agricoles ancestrales de bon sens (paysan, comme on dit au Québec) . Ca évite de retrouver la bonne terre dans des fossés non entretenus et des<br /> dizaines de mètre de vase non récupérable des estuaires. Vouloir faire de ces terres des étendues du type Beauce, Soissonnais ou Beauvaisis est une courte vue agricole. Un voyage d'études en<br /> Champagne 'ex pouilleuse' où toutes les surfaces un peu moins vallonnées qu'en Bretagne ont été dévastées par les guerres et les pratiques agricoles des désastreuses années 5O montrerait qu'il<br /> n'ya plus guère que de la craie en haut et que la terre est au fond des vallées : désert pour toujours!, ici ce serait vite pire : le caillou n'est pas loin! Les microclimats créés par ces haies<br /> dans une région sans été ni chaleur étaient un avantage, certes on ne reviendra pas aux micro parcelles mais de là à tout raser. Ah ça baisse le rendement! cultiver jusqu'au goudron démange<br /> quelques maniaques du bull qui n'hésitent pas à démolir une haie (1000 ans ? de travail) pour gagner plus ou pour ouvrir encore une sortie de champ (la fourrière ça ne se fait plus?) en défonçant<br /> le fossé (sans le tuber) et la terre de filer sur la chaussée commune à tous et....... dans la mer.  La charrue à toujours plus de socs peut démanger, avec à la clef une bonne semelle de<br /> labour : vraiment rentable financièrement ces très gros engins? Il faut entretenir ces bon-sang de haie : peut être qu'il faudrait adopter la technique des arbres en têtard du pays de Rennes,<br /> afin d'avoir des coupes moins dommageables valorisables plus rapidement que tous les 30 ans et un entretien plus facile au pied. Peut être que les non paysans, les nombreux rurbains, bien<br /> contents de cet environnement de choix pourraient filer un coup de main. Peut être qu'on pourrait les faire pousser, planter, entretenir par les enfants d'écoles (ça commence) dont beaucoup ne<br /> comprennent peut être pas le luxe qu'ils ont de vivre à la campagne, afin qu'ils apprennent le prix de la vie d'un arbre ? Quant aux ronces, un petit troupeau de chèvres pourrait en venir à bout<br /> : j'ai connu cela dans mon enfance avec des moutons : les irvillacois investissent, récupèrent leur mise sur les chevreaux et ça donne du travail à  un chevrier communal, garde-quelque<br /> chose, qui en même temps jette un oeil sur les champs, ça ne parait pas très compliqué.Plus de haies = plus de gites pour le gibier = une chasse qui périclite, hors invasions de chevreuil et de<br /> sanglier sur les cultures, tant qu'il y aura encore des bois. Je ne parle même pas de la biodiversité ça c'est encore un autre débat.<br />
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