WAR HENTCHOU IRVILHAG PROPOSERA le samedi 19 mai 2018 à 17 h à la salle Kerlevenez, une rediffusion du téléfilm de TF1 « Quand l’amour vient »

L’association culturelle WAR HENTCHOU IRVILHAG PROPOSERA le samedi 19 mai 2018 à 17 h à la salle Kerlevenez, une rediffusion du téléfilm de TF1 « Quand l’amour vient » réalisé par Hervé BASLE: entrée : 4 € au profit de la restauration du patrimoine d'Irvillac.

L’association a pu se procurer ce film en 1995 suite à des démarches auprès l’Institut National de l’Audiovisuel. Ce fut d'ailleurs l'occasion de la création de l'association..

Cet organisme a cédé à W.H.I, le droit de projection pour une diffusion uniquement patrimoniale, aucune copie ne peut être faite ni vendue.

Ce film tourné à Irvillac pendant l’été chaud de 1976, retrace la vie d’agriculteurs, célibataires à la campagne.

Paul Crauchet Paul Michel Robin Etienne Geneviève Mnich Mlle Rose, l'institutrice Gabriel Gobin le père Louise Chevalier la mère Bérengère Dautun Anna Louis Bessières le photographe Maurice Vallier le curé François Dyrek le bistrot Daniel Isoppo Monique Belluard Brigitte Defrance Isabelle Dedieu Serge Bento Marcel Gassouk

Dans une famille d'agriculteurs bretons, deux frères d'une quarantaine d'années cherchent à se marier. Avec la participation des habitants d'Irvillac (Finistère). Etienne et Paul Lecoq exploitent une belle ferme dans un petit village breton.

Leur mère est aux petits soins pour ses deux grands gars si près d'elle dans sa vieillesse. Leur père, bougon et râleur, pense, lui, à la ferme.

Qui donc continuera l'exploitation si aucun de ses deux fils n'a d'enfant ?

Et pour avoir des enfants, il faut bien se marier. Etienne a un physique plutôt ingrat, un peu trop chauve, un peu trop voûté. Un charmant vieux garçon, moodeste et timide. Un jour à table, il annonce qu'il va épouser Anne, secrétaire dans le Jura. Elle est belle. Elle a répondu à sa petite annonce dans le Chasseur français. Quant à Paul, si Mademoiselle Rose, la nouvelle institutrice se moque un peu de lui au début, peu à peu, l'amour vient...

De nombreux figurants (jeunes et moins jeunes) de la commune apparaissent dans ce film.

Voir ci-dessous :

http://php88.free.fr/bdff/image_film.php?ID=9869

Une rediffusion d'un autre film  de 1974 sera aussi programmé le 6 octobre à 17 h

Les Trois Morts d'Émile Gauthier, avec la collaboration de Jean L'Hôte. Ce film, à la fois documentaire social et illumination romanesque, reçoit le Prix de la critique en 1973. tourné à Irvillac en 1973.

Paul Crauchet EMILE GAUTHIER Evelyne Istria LOUISE NOBLET Germaine Delbat MARIE LABAT Julien Verdier ARISITDE LABAT Andrée Tainsy L'EPICIERE Alexandre Rignault LE CURE Anne Marie Bernstein LA VEUVE Liliane Sorval LA CONCIERGE Marius Laurey LE SECRETAIRE DE MAIRIE Yves Bureau UN JOUEUR DE CARTES Max Doria UN JOUEUR DE CARTES Sacha Tarride UN JOUEUR DE CARTES Paul Vally UN JOUEUR DE CARTES Maurice Vallier LE DOCTEUR Pierre Frag  Marcel Gassouk  Philippe Oyham-buru  Marie-Annick Désert  Marguerite Quintric  Michel Cadiou  François Léon  Henri Toullec  la population d'Irvillac (Finistère) 

Résumé : Un modeste retraité de la SNCF, célibataire, sans famille et malade tente de s'intégrer à son voisinage. Mais, indifférence ou incompréhension, tant à Paris que dans le petit village breton où il a décidé de finir ses jours, il est rejeté.

Cette histoire grave rend compte aussi d'une certaine cocasserie de la vie quotidienne. - Emile Gauthier vit discrètement dans son logement parisien. Il n'a pour toutes relations que quelques camarades avec lesquels il joue aux cartes de temps à autre. Un jour, terrassé par une crise cardiaque, il reste quatorze heures seul chez lui, sans secours. A la suite de cet accident, sur les conseils de son médecin, il décide de se retirer en province. Cette décision est accueillie avec indifférence par ses compagnons qui l'ont déjà remplacé par un autre joueur pendant sa maladie. Dans le village breton où il s'installe, le timide retraité essaie vainement de faire connaissance avec les habitants. Ses tentatives maladroites se heurtent au silence, à la méfiance et à la médisance de ses nouveaux voisins.

Critique post-diffusion télé : Enfin une dramatique réussie ! Ces«Trois Morts d'Emile Gauthier» nous ont fait oublier ces policières ratées, ordinaire habituel de nos soirées du samedi. L'entreprise, pourtant, était périlleuse. L'histoire de ce retraité timide, qui essaye de vaincre sa solitude, aurait pu sombrer dans la grisaille et le misérabilisme. Jean L'Hôte et Hervé Baslé ne sont pas tombés dans ces pièges. Ils sont parvenus, à force de tendresse et d'humour, à nous faire sourire très souvent. Plusieurs scènes étaient des petits chefs-d'œuvre de cocasserie ; par exemple lorsque Emile Gauthier essaye sa « tenue bretonne » ou lorsqu'il fait une conférence aux enfants de l'école, dans un langage très précieux, sur les chemins de fer.

Avec une grande économie de moyens, sans discours inutiles, les autres ont campé leur héros. Une visite à la gare et nous avions compris que c'était un retraité de la S.N.C.F. Une partie de belote dans un square, et nous avions pressenti sa solitude. Un seul personnage m'a gênée, celui de la jeune fille. On comprenait assez mal à quels mobiles elle obéissait, même si elle était fort bien interprétée par Evelyne Istria. Paul Grauchet était tout à fait remarquable dans le rôle difficile d'Emile Gauthier. Ce comédien, voué aux seconds rôles, a prouvé qu'il était un acteur de premier plan.

Pour sa première dramatique, Hervé Baslé a réussi un coup de maître auquel il faut associer étroitement Jean L'Hôte, dont j'ai reconnu, à travers toute la pièce, l'humour très particulier. Une soirée d'une grande qualité.

Comments

[Angelilie]

Beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte. un blog très intéressant. J'aime beaucoup. je reviendrai. N'hésitez pas à visiter mon blog (lien sur pseudo). Au plaisir